Unis pour défendre les intérêts alsaciens, les députés et les sénateurs sont intervenus collectivement pour soutenir l’ouverture des commerces alsaciens pénalisés par l’Allemagne.
La rigidité des dispositions prises à un niveau national a entraîné des pertes significatives pour les commerces de la bande rhénane. Nous avons insisté auprès du 1er Ministre sur la nécessité de reconnaître cette spécificité et de permettre aux Préfets du Bas-Rhin et du Haut-Rhin d’adapter les règles d’ouverture des commerces dits « non essentiels ». Nous regrettons vivement de ne pas avoir été entendus sur une question aussi importante.