Sénat – Auditions de l’OPECST sur les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 

L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques (OPECST) enquête depuis février sur les effets indésirables liés à la vaccination contre le covid-19.  Il a organisé une audition publique sur le thème : « Déclaration, analyse et communication autour des effets indésirables des vaccins contre la Covid-19″, dirigée par Cédric Villani président de l’OPESCT et menée par les rapporteurs Gérard Leseul, député, Sonia de La Provôté et Florence Lassarade, sénatrices.

>Dans l’extrait ci-dessous, je pose la question sur les dispositifs de pharmacovigilance pour les 22490 jeunes enfants français qui ont été vaccinés avec des doses pour adultes en 2021, avant l’arrivée des vaccins pédiatriques. Et parmi eux, des enfants moins de 5 ans : 4512 avec 1 dose et 2435 avec 2 doses, sans disposer d’études cliniques ni d’autorisation légale. L’ANSM répondra plus tard qu’elle « réceptionne tous les signaux envoyés sans distinction d’âge ou de situations » et que « toute déclaration est suivie. »
Certes, mais tout effet secondaire est-il déclaré ? Probablement pas. Ce régime d’exception, appliqué à des enfants, n’aurait-il pas dû faire l’objet d’un suivi exceptionnel ?

Troubles menstruels et vaccination anti-covid : un effet indésirable encore non reconnu

>L’audition de l’’Opecst nous a  permis de mettre en évidence ce sujet essentiel mais resté sans réponse jusqu’ici, notamment au niveau européen. L’ampleur des témoignages en France  et dans plusieurs pays de l’UE obligent à rouvrir ce dossier rapidement. Voir l’extrait :

Des études pharmacologiques difficiles à conduire sur de grands échantillons de population ?

« Je suis alertée par cette situation. Je suis depuis longtemps le collectif ‘Où est mon cycle’ qui recense des témoignages de femmes, et l’on voit bien que ce phénomène touche tous les milieux », réagit auprès de Public Sénat la sénatrice LR du Bas-Rhin Laurence Muller-Bronn, qui a suivi cette audition et qui s’est opposée au passe vaccinal.
« Historiquement, les problèmes gynécologiques n’ont jamais été suffisamment pris au sérieux, parce que l’on considère que c’est une affaire de femmes. Devant un tel nombre de remontées, on ne peut que déplorer l’absence de signal au niveau européen. Tant que ce problème n’est pas reconnu comme un effet secondaire, les médecins ne sont pas prévenus et il ne peut pas y avoir de prise en charge », s’agace-t-elle.

 >Voir l’article entier de Public Sénat : https://www.publicsenat.fr/article/societe/troubles-menstruels-et-vaccination-anti-covid-un-effet-indesirable-encore-non